Enquête CSA pour le Comité National pour la Promotion de l’Œuf (CNPO), menée du 27 mars au 1er avril 2019 auprès d’un échantillon national représentatif de 1004 Français âgés de 18 ans et plus.
De plus en plus de consommateurs attachés à l’origine française de leurs œufs
Les Français attachent de plus en plus d’importance à l’origine française de leurs œufs. Aujourd’hui, 87 % des consommateurs confient qu’il s’agit d’un critère important pour leur achat, soit 2 points de plus qu’en 2017 (85 %).
Le nouveau logo « Œufs de France » déjà connu par 4 Français sur 10
Le logo « Œufs de France », lancé l’an passé sur les boîtes d’œufs par les professionnels de la filière, est déjà connu par plus de 4 Français sur 10. En effet, ils sont 41 % à déclarer l’avoir déjà vu ou en avoir déjà entendu parler. Sa notoriété dépasse déjà celle du logo « Pondu en France » qui était en place jusqu’ici et connu par 25% des Français en 2017.
« Œufs de France » : synonyme de réassurance
Les Œufs de France rassurent les Français sur de nombreux points. Ils sont ainsi 95 % à estimer qu’ils sont la garantie de contribuer à la préservation des élevages en France et autant de contribuer au maintien du « Made in France ». Ils sont également 89 % à déclarer qu’il s’agit d’un moyen de garantir la qualité en général et sanitaire en particulier. Enfin, 84 % jugent qu’ils sont une garantie de fraîcheur et autant qu’ils apportent la garantie du respect d’une réglementation sur le bien-être animal parmi les plus strictes au monde.
« Œufs de France » élargi aux produits transformés : 9 Français sur 10 favorables
Au-delà de l’identification des œufs, 90 % des Français se prononcent en faveur de l’élargissement de l’utilisation du logo « Œufs de France » aux produits transformés.
« Œufs de France » : un logo déterminant pour l’achat
78 % des Français estiment que la présence du logo « Œufs de France » est un élément susceptible d’influencer positivement leur achat. L’influence du logo est encore plus marquée pour les produits transformés : 82 % estiment que sa présence sur les conditionnements des biscuits, pâtes, brioches, plats préparés… serait susceptible d’influencer positivement leur achat.